James Ferringer 2
James Ferringer (1952 – 2018) a toujours su qu’il voulait être artiste. Depuis ses débuts c’est un cadeau, une malédiction, une passion. Il a d’abord créé des bijoux, travaillé le métal et la sculpture.
Dessiner était beaucoup plus satisfaisant. Il pouvait travailler plus vite et exprimer beaucoup plus d’idées. Bientôt, il incorpora le collage dans son travail, ajoutant des caractères et des découpes, déchirant des livres.
Un jour, il s’est finalement assis et a commencé à créer avec le numérique, s’y adonnant chaque jour pour expérimenter.
La photographie—et plus récemment la peinture—ont été une découverte du même acabit : sauter avec les deux pieds dans ce nouveau média et apprendre au fur et à mesure. Ses images—et les médias utilisés pour les créer — sont en évolution permanente. Parfois réalistes, parfois surréalistes, parfois abstraites. Parfois acrylique traditionnel ou huiles. Parfois manipulation numérique. Un reflet de ses expériences, une façon de partager ce qui se passe dans sa vie.
Il travaille en studio en moyenne huit heures par jour, sept jours sur sept. Il ne cesse de découvrir et d’apprendre, ayant toujours des idées qui tournent dans sa tête. Une création devient le point de passage vers une autre.
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