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L’idéal de beauté masculin est imperméable aux modes. Si le nu est féminin est omniprésent dans l’art jusqu’à saturer notre imaginaire, le nu masculin reste timide tout en étant un canon immuable dans l’art. Parce que le corps de l’homme est un support de représentation symbolique, osons le nu masculin dans l’art, au fil du temps ; osons autant le nude (nu) que le naked (déshabillé) en anglais.

16 Jan

Le pancrace

Publié par Romain  - Catégories :  #Antiquité

Le pancrace

Le pancrace

Le pancrace était, avec le pugilat et la lutte, l'un des trois arts martiaux pratiqués durant les Jeux olympiques antiques à partir de la 23e olympiade (688 av. J.-C).

Le pancrace est un sport de combat grec, permettant de pratiquer quasiment toutes les techniques. Il était juste interdit d'introduire le doigt dans l’œil ou dans la bouche de l'adversaire, et de lui tirer l'oreille ou les parties génitales. C'était un sport très technique, mais pas le plus dur : le pugilat était en effet réputé plus violent. Le lutteur de pancrace est appelé pancratiaste.

Le pancrace fait partie des épreuves qualifiées de « gymniques » c'est-à-dire, au sens propre, « nues », parce que les athlètes y concourent complètement nus, telles que le pentathlon et les courses (hors la course en armes). De même que la lutte et le pugilat, il fait partie des épreuves dites « lourdes, pour lesquelles est nécessaire une aire spéciale, dont la terre a été ameublie.

C’est la dernière des trois épreuves qui recherche la mise hors de combat de l'adversaire par des échanges debout ou au sol.

Le pancrace
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L’idéal de beauté masculin est imperméable aux modes. Si le nu est féminin est omniprésent dans l’art jusqu’à saturer notre imaginaire, le nu masculin reste timide tout en étant un canon immuable dans l’art. Parce que le corps de l’homme est un support de représentation symbolique, osons le nu masculin dans l’art, au fil du temps ; osons autant le nude (nu) que le naked (déshabillé) en anglais.